L’internationalisation d’Antoura
L’ingénieur Labib Akiki est le maire d’Antoura, le cœur vert du Kesrouan. Au cours de son mandat, Akiki s’est engagé à protéger les espaces verts qui couvrent 65% de la superficie du village à travers le recours aux experts nationaux et internationaux.
Conscient de l’importance des richesses naturelles d’Antoura, il proposa de réhabiliter le Sentier de la Lune, un chemin de près de 3 km qui lie Antoura à Harissa, et obtint un financement dans le cadre de l’accord de coopération entre la Fédération des Municipalités du Kesrouan-Ftouh et le département des Yvelines (France). Dans le cadre de ce projet, qui ouvrit la voie à d’autres projets similaires dans les villages avoisinants du Kesrouan-Ftouh, Antoura accueillit un groupe de jeunes yvelinois qui travaillèrent avec leurs homologues libanais pendant 3 semaines et instaurèrent des liens d’amitié.
Le troisième projet vert qu’Akiki encouragea est la création d’un centre de tri des déchets au lendemain de la crise des ordures qui n’épargna point le Liban, une initiative pionnière qui s’inscrit dans le cadre de la politique décentralisée de la municipalité.
Parallèlement aux préoccupations écologiques, Akiki s’occupe de l’infrastructure, notamment des réseaux d’assainissement.
Du côté social, le conseil municipal d’Antoura, présidé par Akiki, travaille à développer la structure du dispensaire municipal qui offre des services quasi-gratuits aux grands et petits. En fervent défenseur du rôle de la femme dans le domaine social et politique, Akiki soutient la création d’un organisme local composé de figures féminines engagées dans le développement de leur localité.
Akiki valorise les activités sportives et culturelles. Le festival estival organisé à l’occasion de la Fête de l’Assomption est l’occasion de réunir tous les habitants et de consolider les relations d’amitié entre eux. Antoura Village
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